Je me voudrais béguine, vivre loin de ces fauves qui parfois me déchirent et qui parfois s’inclinent. Celui qui ronronne tant, yeux à demi fermés, celui beau comme un astre, qui veut être dompté. L’un m’aime, mais de dos. L’autre mange dans ma main… quand ses engagements ne l’appellent pas ailleurs.
Éternelle seconde et pour toujours honteuse ?
Assez !
Je veux marcher dehors ta main tenant la mienne. Je veux que t’arrêtes tout si j’ai besoin de toi. Je veux être assez bien pour être légitime.
Marre !
Je suis ton beau plan B si le plan A échoue. Je suis celle que tu aimes… à la pause déjeuner. Ton ex petite amie qui dit encore oui.
Assez !
Vous voilà plusieurs fauves avec vos yeux dorés. Je vous aime d’amour, ça se lit dans mes gestes. Mais vous êtes prédateurs car vous me dévorez sans rien perdre de vous.
Laissez-moi ma colère
Votre vie est ailleurs et elle n’a rien pour moi.
Faites d’abord ma place.
O que j’aime tel ire, ciselé !
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*lire
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Merci, Dom 🙂
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Faut il vraiment perdre de soi ? C’est fort « perdre de soi »
Un amant vous a maltraité ? Ou plutôt, mal considéré ?
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Je ne pourrais répondre et continuer prétendre n’écrire que des textes fictifs. 🙂
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Certes…
Cette réflexion fictive est bien écrite. Au point qu’on a cru, a tort manifestement, qu’il y avait une part de vécue !
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